mercredi 24 octobre 2012

Roman: City of Fire de T.H. Lain

De retour après une pause avec la série D&D introduction par le regroupement d'auteur T.H. Lain



Bon, après avoir été un peu déçu par les derniers romans de la série, j'ai redonné une autre chance et glissé ce court roman de 180 pages pour une petite lecture rapide. Même s'il ne faut pas s'attendre à beaucoup, j'ai été surpris et bien aimé celui-ci.

Premièrement il ne faut pas faire l'erreur de lire un roman de cette grosseur en pensant être marqué ou penser s'attacher aux personnages.  C'est plus un fast-food d'action alors ça dépend comment on le digère après !

Un point que j'aime, c'est que les clichés ne sont pas utilisés, souvent dans les romans de cette taille, on sent le besoin de nous dire que le ranger est bon dans les bois et n'aime pas la ville. Dans ce roman, au-lieu de répéter ranger 50 fois, le personnage prend le devant dans la fôret, suit les traces et connait les habitudes des différente races.  La paladin joue un rôle intéressant au-lieu d'être zèlé et borné religion. Même le barbare demi-orc est bien joué.

L'histoire ressemble à une session D&D classique: ça débute avec un contrat pour chasser une bande d'orcs pilleurs pour finir avec une aventure dans une autre dimension. J'ai bien aimé que ça ne soit pas des personnes trop puissants, ils craignent les orcs et les gnolls (contrairement èa d'autres livre ou il faut 10 gnolls pour donner un défi à un héro).

Aussi, les objets magiques brisent souvent les histoires dans les petits romans. Dans celui, même s'ils trouvent ses objets trop facilement, ils ne chargent pas simplement dans  les méchants, ils tendent une ambuscade avec! Assez efficace.
Et même si un objet magique joue un rôle à la fin, au-lieu de simplement battre le vilain, ils s'assure d'avoir une suite à l'histoire.

Donc si on le prend comme un petit roman, ce livre est une intéressante lecture rapide malgré sa simplicité. C'est sûr que si vous le comparer à les grosses séries, il ne tient pas la route... sauf que si vous êtes amateurs d'histoires légendaires et sentez le besoin de vous attacher aux personnes absolument, pourquoi lire un roman de 180 pages alors? C'est sûr que ça ne sera pas pour vous.

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