dimanche 29 avril 2012

Williams Ringer 1970

Aujourd'hui une machine assez spéciale. Réparé les vieilles machines à boule ne me donne pas seulement la chance de rencontrer plein de personne différente, mais aussi à l'occasion de tomber sur de vielles machines électro-mécaniques d'arcade, avant que les vidéos électroniques prennent toute la place.

Alors je devais réparer une Williams Ringer 1970 qui simule le jeu du tir de fers à cheval! Je me rappelle avoir joué avec mon père étant jeu au parc de la ville. Rien de plus, ça semble même ennuyant tellement c'est simple, mais parfois ses petits jeux de dextérité donnent des moments plaisants, qui ne se souvient pas d'avoir joué aux poches ? :)

Est-ce que la Williams Ringer redonne la même nostalgie? Presque! Jouer à un seul joueur pourrait être l'équivalent de se pratiquer tout seul à lancer un fer dans sa cours arrière. Rien de palpitant. Mais avec quelqu'un d'autres, la petite compétition s'installe malgré nous... c'est niaiseux tourner une la roue... mais on veut la faire tourner mieux que l'autre. Alors l'ambiance du jeu vrai je de fer commence à paraître; mononcle Jean-guy tire la pipe a Gérard assez rapidement. On finit par vouloir un autre fer et une autre petite partie...

Évidemment, le plaisir ne dur pas éternellement non plus, le temps d'une bière... peut-être 1 hrs si on est plus à alterner chaqun notre tour. Donc c'est le genre de machine qui va dormir dans un coin d'une salle de jeu, une décoration que plusieurs vont tasser pour faire place à d'autres choses.

Je suis bien content d'avoir pu la réparer et d'avoir mon brin de nostalgie, mais je ne serai pas déçu d'aller la reporter au client.


jeudi 19 avril 2012

Roman StarCraft #2: Shadow of the Xel'Naga

Shadow of the Xel'Naga est 2ième roman de la première série de trois dans l'Univers du jeu Starcraft. Même s'il y a quelques personnages qui reviennent, on n'a pas le sentiment d'un trilogie qui s'installe, il pourrait être lu séparément sans problème (l'auteur est  différent que le premier). Gabriel Mesta est un psudonyme pour un couple d'auteurs.

Le livre est un roman sci-fi qui n'apporte rien de nouveau, de différents ou de spectaculaires. On utilise plutôt les bonnes vieilles recettes holywoodiennes pour faire embellir une histoire vite faite.

Premièrement les personnages ont un niveau. Lorsqu'ils sont introduit dans l'histoire, la première phrase révèle le personnage au complet. Aucune variété, aucune surprise pour le reste du liste. Ils ressemblent plus à des archétypes que des personnages participant à l'histoire. Donc le zèlé est hyper zèlé, le trop confiant fait toujours les mêmes erreurs...

Le personnage principal, Octavia Bren, une colon sur une planète hostile qui a toujours eu la vie dure (cette excuse est utilisée pour tout justifier) n'est pas très intéressante. La fermière qui s'est battue pour casser des roches et faire pousser des récoltes toute sa vie devient soudainement une leader de guerre donnant les ordre et railliant tout le monde comme une combattante vétéran de plusieurs guerres.
De plus, on lui donne un potentiel psychique qui lui donne un certain talent télépathique qui ne sert à rien à part ressentir une présence dans l'artefact et de recevoir d'un appel extra-terrestre pour aller la voir dans le désert . D'ailleurs pour quelqu'un qui n'a jamais utilisé ce pouvoir ni vu d'extra-terrestres, elle ne semble pas trop avoir de problèmes à parler télépathiquement avec un Protoss).

Les combats sont une suite des descriptions d'armes et d'unités militaires où chaque front de bataille rajoute de quoi de plus gros chaqun leur tour. De bonnes descriptions par exemple, dommage que je n'ai jamais joué au jeu pour faire le lien.
Le scénario de base n'est pas mauvais, la fin est presque ennuyante et trop à l'eau de rose. Les humains ressucitent comme si rien n'était, des amours naissent, les E.T. meureunt et les méchants militaires ont leur leçon. Même les terres secs et hostiles deviennent hyper fertiles pour  les colons traumatisés. Je ne sais pas ce qu'ils vont apporter dans le troisième livre, mais ça fini qu'il a un genre de phoenix indestructible et mangeur d'extra-terrestre en liberté dans l'espace sauf que j'ai l'impression qu'on en entendra plus vraiment parler.
Donc, pas mauvais, mais rien d'excitant non plus. Genre de livre que l'on retient peu de choses, ça passe le temps sans être trop ennuyant, mais on peut essayer plusieurs livres bien avant.

mercredi 18 avril 2012

Jeux: Gemlok

Encore un petit jeu à présenter! Évidemment j'ai joué à plusieurs autres jeux entre temps, mais pour des jeux plus complexes parfois je dois attendre d'y avoir quelques fois pour me faire une idée plus juste.
Donc pour nos jeux de dîners sous la bar des 30 minutes, on a essayé Gemlok !



De 2 à 4 joueurs, il se joue aussi bien à 2 qu'à 4, juste moins chaotique à 2 joueurs bien sûr vù qu'il y a moins de pion en jeu.
Les règles sont très simples, tu as 8 pions que tu déplaces sur un plateau de jeu. Sur le plateau il y a des gemmes entre 1 et 9, c'est la valeur quelles vont te donner si ton pion est dessus à la fin de la partie.
Les pions se déplacements grâcent à deux dés qui ont des tracés de déplacement que l'on doit suivre. Sinon, les dés ont une face Gemlok qui oblige à bloquer un pion (tu le tourne de côté). Ce pion ne peut être déplacer pour le reste de la partie
La stratégie vient que si ton pion fini ses mouvements sur une case avec un pion non bloqué, il peut le pousser de 1 à 3 cases, donc tu peux tant servir pour avancer tes pions plus vites (les gemmes de haute valeur sont au centre du plateau) ou sinon pour pousser les pions non bloqués adverses loin des cases payantes.
La partie se termine lorsqu'il y a un jour qui bloque toutes ses pions, sinon après 10 tours, pour éviter d'étirer la partie, peut déclarer la fin à son tour ce qui laisse un dernier tour au autre.

Donc super simple, parfait pour la petite famille, mais il faut vivre avec l'idée qu'on est à la merci des dés et qu'il y a peu de stratégie et de tactiques. Je ne crois pas qu'il va sortir très souvent sur la table de jeu, mais pour une vingtaine de minutes de jeu, on peut y retrouver un plaisir léger et différent.